Il est unanimement admis que la pratique de l’activité physique connait d’innombrables bienfaits. Sans citer qu’elle constitue un bouclier efficace pour lutter contre de nombreuses maladies. Toutefois, il arrive des moments où le corps se démotive et la personne se réfugie dans d’autres activités semblant plus plaisantes que les activités sportives.
Que faire en cas de démotivation ?
Si le niveau de la démotivation est au 1er degré, il est encore temps de se souvenir de la sensation procurée par chaque séance effectuée auparavant. Dites-vous qu’il n’est jamais tard de rattraper les séances perdues et que le fait de ne pas être allé à vos rendez-vous habituels en activités sportives est regrettable. Au second cas, si la raison de votre démotivation se trouve dans la perte de force étant donné que vous n’aviez pas atteint vos objectifs préfixés, armez-vous de courage et voyez cela comme étant une étape d’apprentissage vers la régularité.
La motivation est là mais la lassitude prend le dessus, que faire ?
Des efforts ont été déjà visiblement réalisés, mais le problème se réside dans la sensation d’une grande monotonie. Dans ce cas là, fixez-vous un cahier d’entrainement spécialisé uniquement pour votre séance. Pas n’importe quel cahier, mettez dedans vos photos d’avant et d’après afin que vous puissiez constater par vous même qu’il y avait eu réellement une progression. Y insérer des séries d’exercices différentes sur lesquelles s’affiche une personne ayant un corps désirable et à qui vous aimeriez ressembler pourrait également vous encourager à reprendre vos habitudes.
La démotivation ne fait que s’amplifier, que faire ?
Face aux divers problèmes qui nous submergent, il nous arrive de vouloir arrêter définitivement le sport. N’oublions pas que dans ces moments de tracas, le sport nous aide plus encore que les autres moyens de distractions. Car le simple fait de bouger nous invite automatiquement à nous détacher entièrement du quotidien. La tête se concentrera machinalement sur les activités présentes. L’état d’esprit d’un sportif ne s’égale guère à celui d’un passif. Chez le premier, il y a toujours cette volonté de vouloir lancer un défi et d’y surpasser. D’où le fondement de l’idée que les sportifs ont toujours un esprit compétitif.